PAILLAUD Philippe

Philippe Paillaud, ex-cadre administratif est aussi un coureur amateur chevronné et l’un des pionniers Français membres du très select « Seven Continents Club ». Il a en effet disputé au moins un marathon sur tous les continents de la planète, condition requise pour être admis dans ce cercle.

Ses expériences sportives et ses nombreux voyages, tout comme son goût pour la littérature policière, l’ont conduit à écrire en 2018 son premier roman, « Marathon rouge sang » aux éditions Cédalion. Le très bon accueil de celui-ci l’a conduit à vous proposer ce deuxième opus « Marathon bleu outremer ». 

Difficile d’imaginer des points communs entre l’empoisonnement dramatique d’une écologiste dans l’île de Ré, la découverte d’un corps déchiqueté en Australie, une réunion occulte au cœur de l’Afrique, le tragique accident d’un ouvrier dans une mine péruvienne, l’émergence mondiale de mouvements autochtones, les rêves de vengeance d’un ex-haut fonctionnaire français et les tribulations sportives de pacifiques marathoniens plongés malgré eux dans une incroyable aventure.

Comment ces derniers auraient-ils pu prévoir que les cristallines eaux bleues des lagons se teinteraient d’un rouge sanguinolent, transformant leur séjour idyllique en un dramatique périple ?

Roscoe Mckenzie était de bonne humeur. Son grand projet voyait enfin le jour ! Bientôt, le site de Wai-O-Tapu situé à une encablure de Rotorua, dans l’île du Nord, allait pouvoir faire un peu de concurrence aux nombreuses activités sportives au fin fond de l’île du Sud, du côté de Queenstown, qui faisait là-bas la richesse du tourisme local. La Mecque de l’aventure en Nouvelle-Zélande.

Roscoe avait dû se battre pour en arriver à concrétiser son rêve. Après des études de tourisme en Angleterre, le natif d’Auckland était revenu travailler au pays avec la ferme intention de réussir. Il savait que le potentiel touristique de son pays était phénoménal : des plages immenses, des rivières, des lacs, des montagnes, des forêts, des glaciers.

Il était déjà allé de nombreuses fois au sud pour voir les sites de saut à l’élastique, le « bungi jumping », –notamment celui de « The Nevis » qui ne mesurait pas moins de cent trente-quatre mètres de hauteur –, tester les chutes libres en parachute au-dessus du glacier Frantz Joseph ou les descentes de rapides en raft. Toutes ces activités avaient un succès fou et fonctionnaient à plein pendant la haute saison, attirant des touristes amateurs de sensations fortes en provenance du monde entier.

L’île du Nord était un peu moins bien dotée, même si elle disposait d’un site de saut à l’élastique près de Taupo qui ne mesurait « que » quarante-sept mètres, bien loin de « The Nevis ».

Le livre  MARATHON BLEU OUTREMER de Philippe Paillaud est proposé à la pré-commande ! Réservez votre exemplaire dédicacé par l'auteur !
Pour ce faire, téléchargez le bon !
En cas de problème, n'hésitez pas à contacter Edi'lybris à l'adresse mail suivante : edilybris@gmail.com ou à l'auteur : jmchaffraix@live.fr

Bc marathon bleu outre mer